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Un périple en famille
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29 novembre 2006

Des nouvelles de Quetta....

Quetta, Iran, le 23-11-06


(pour des raisons de difficulté de connection, ce message a été envoyé à partir d’Islamabad)


Apres 600 km d’une traversée grandiose du désert du Baloutchistan, nous vous écrivons de Quetta ou nous prenons un peu de repos bien mérité. Et depuis Yazd en Iran, comme d’hab., on en a des choses à vous raconter….


Yazd___Merjaveh

 

Retour à Kermân ou nous avons décidé d’aller faire une petite virée dans le désert, au nord. Deux jours à la campagne !! Encore une fois, Obelix nous a montré toutes ses capacités de grimpeur hors pair. On s’est fait un petit bivouac en lisière d’un oasis, face au désert. Superbe.


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Désert au nord de Kermân

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Sur la route de Kermân


Puis ce fut Rayen, petite bourgade millénaire située entre Kermân et Bam qui, suite au séisme de cette dernière en 2003, rivalise désormais avec le site détruit. La citadelle est en cours de restauration et offre un magnifique plan de jeu pour des parties de cache-cache extra...trop cool !! Pour la nuit, nous sommes allés nous réfugier dans un petit village à l’extérieur de Rayen. Accueil extra des enfants du village, pour une fois pas trop excités, ce qui a permis de communiquer un peu autrement que par des « what is your name », what is your country »,….on s’est fait qq tours de village sur la mob de Hussein, grands frissons pour les enfants.


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Les Duduch à Rayen

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La citadelle de Rayen


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A proximité de Rayen


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Un levé de soleil à proximité de Rayen

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Nos petits copains de Rayen


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Un homme...


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Sur la route...


A Bam, nous ne résistons pas à l’envie d’aller visiter les restes de la Citadelle. Paysage de désolation qui nous laisse sans voix. Seules les photos nous permettent d’imaginer comment étaient cette merveille avant le séisme. Nous sommes également impressionnés par les hectares de gravats déposés en périphérie de la ville et provenant des maisons effondrées. Trois ans après le séisme, la ville est aujourd’hui en plein chantier. A peu près deux maisons sur trois sont en cours de reconstruction, avec leur structure en poutres d’acier afin de pouvoir résister au prochain séisme…Inch Allah… Heureusement il reste la merveilleuse palmeraie qui s’étend sur une 50taine de kms avec des palmiers dattiers de toute beauté.

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Bam... ce qu'il en reste


Pour le bivouac, nous sortons de la ville pour aller dormir sur le parking du Erg el Jadid Hôtel. Mais vers 19h, alors que nous sommes concentrés en plein CNED, la police vient nous déloger. A contre cœur, nous reprenons la route pour qq. centaines de mètres, précédés par la voiture de police, tous gyrophares dehors, pour finalement atterrir dans un magnifique parc, à deux pas de la station de police et d’une aire de jeu pour les enfants. Le lendemain matin, nous découvrons que nous sommes dans la « Spécial Economic Zone » de Bam. Spot à recommander pour les autres routards motorisés.

 

Apres Bam, tous les Iraniens nous l’ont confirmé, on entre dans le Baloutchistan….un autre monde, ou tout du moins, le monde des trafiquants, avec comme capitale Zahedan, pour le coté Iranien (l’opium de l’Afghanistan n’est qu’à 50 km). Nous croiserons très régulièrement des contrôles de camions avec chiens renifleurs (voilà pour l’ambiance). En guise d’entrée en matière, nous essuyons une belle tempête de sable. Vision impressionnante de ces langues de sables qui viennent couvrir la route et de ces rafales de vent qui viennent s’ecraser sur Obelix. A notre agréable surprise, Obelix ne tangue pas trop…enfin, il faut juste savoir ajuster le cap avec le volant !! Nous arrivons donc le 18 à Zahedan, vers 15 h, sans nouvelles des differents autres routards avec qui nous avions prévus de faire la route en convoi.  Impossible également d’y trouver un hôtel qui accepte de nous accueillir sur leur parking pour la nuit (alors que sur tout le reste de l’Iran nous avons toujours été si chaleureusement reçu partout, c’est un comble). A défaut, on nous conseille de nous installer devant le bâtiment des services secrets iraniens (« iranien CIA » !!). L’ambiance n’est pas vraiment au beau fixe à l’intérieur d’Obelix. Vers 20h, un garde nous demande de nous garer de l’autre coté de la rue. C’est vrai que notre Obelix fait assez laboratoire d’espionnage bourré d’électronique !! En pleine manœuvre, nous apercevons le camion des Descubes au coin de la rue. Enfin !!, après 5 mois de contact via internet, nous faisons enfin connaissance de visu. Cela fait du bien aussi de partager les galères de bivouac car nous ne sommes pas au bout de nos peines : nous décidons en effet de nous installer dans une impasse mais vers 21h, alors que nous sommes entrain de finir un petite liqueur de contrebande amenée par les Descubes, la police vient à nouveau nous déloger. Cela commence à devenir une habitude !! Le coin est parait il trop dangereux. Apres une heure à tourner en rond dans la ville (avec la police pour escorte) nous atterrissons enfin sur le parking du Tourism Inn Hôtel, contraint par la police à nous accueillir.


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A chacune ses symboles...


Le lendemain, le seul objectif est d’essayer de récupérer des visas au consulat d’Inde (envoyé depuis Téhéran parait-il), ce que beaucoup de routards ont déjà tenté sans succès. Et ça marche ! A 15h, comme promis le matin, nous recuperons nos visas. Ce sera donc une démarche de moins à faire à Islamabad. Nous filons alors avant la tombée de la nuit vers Merjaveh, ville frontière. Plus glauque que ça, tu meures !! Faute d’hôtel ouvert (Ali, le gardien du seul hôtel de la ville, étant introuvable), nous passerons donc la nuit devant la caserne de police. Marcello et Carolina, un couple Italiano-Bresilien, nous rejoignent dans la soirée. Nous serons donc 3 véhicules à faire la route ensemble pour traverser ce fameux désert du Baloutchistan…

 

J’ai oublié de préciser que, au royaume du pétrole, une de nos principales occupations depuis Bam, est de trouver du diesel (merci à Pascal et Anne-Claire, les anciens proprio d’Obelix d’avoir eu la bonne idée d’installer un réservoir de 160 l) A chaque pompe (elles sont très rares), nous tentons notre chance pour remplir un peu notre réservoir. Parfois, il n’y a vraiment plus de diesel, parfois il y en a, le plus souvent il faut discuter, marchander pour obtenir qq. litres. Etant donné la différence de prix du carburant entre le Pakistan et l’Iran (on fait son plein pour moins de 3 euros !), un véritable marché noir s’est mis en place pour extraire illégalement du carburant vers le Pakistan. Pour nous aussi, nous sommes motivés pour faire le plein avant de passer la frontière. A Merjaveh, nous passons 3 fois à la seule pompe ouverte : une fois seuls, une fois accompagnés par la police, une dernière fois le lendemain matin avec l’armée : rien à faire, on n’aura pas une seule goutte. Heureusement que nous avions pris nos précautions et que nous avions rempli qq. bidons 3 jours auparavant (du coup, ça devient un exploit sportif d’aller aux toilettes ou de prendre une douche dans Obélix !)

 

Le 20 au matin, après un réveil très matinal, nous quittons donc Marjaveh sous escorte militaire. Il faut dire qu’ils aiment en rajouter un peu ces militaires. Il doit y avoir dans le tableau des rémunérations des armées Iranienne et Pakistanaise, une prime à l’escorte du touriste !! Et tout cela pour à peine 2 km. Cela étant dit, cette première escorte nous permet de doubler la file (ou plutôt un amas) de véhicules qui attendent déjà pour franchir un 1er barrage avant la vraie frontière.

Pas de problème particulier côté Iranien. On n’en dira pas de même, côté Pakistanais. Là, on arrive dans un autre monde ! Un b….. sans nom. Des bureaux, des tampons, des registres à remplir, des files d’attentes,….on pensait éventuellement traverser les 600 km d’une traite……à 13h, nous sortions à peine du dernier bureau !!! Tous très adorables (nous offrant jus de fruits, bonbons pour les enfants), mais quelle inefficacité…..Il faut dire qu’on a manqué de chance : à une des étapes de ce marathon sans nom, nous sommes tombés sur une nouvelle feuille de registre à remplir ou il fallait mettre en place 3 nouvelles colonnes. Il a donc fallu aller chercher une règle et un stylo de couleur rouge, ce qui n’a pas été évident à trouver…et ça a pris du temps….Heureusement, les enfants ont été super. Nous les avions briefé avant la frontière : au cas ou il y aurait eu de la mauvaise volonté de la part des douaniers, ils auraient eu, à notre signal, carte blanche pour foutre le maximum de bazar. Mais dans ces attentes interminables, il n’y avait même pas de mauvaise volonté…


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Même Valentine a son propre registre de douane!

Au revoir donc l’Iran, pays si étonnant et attachant. On retiendra de toi l’extrême gentillesse et curiosité de ta population, les merveilles d’Ispahan, les Qanâts de Yazd, les pains payés le matin par le voisin de queue, les billets à multiples zéros, la famille de Jamshid, les péages gratuits pour nous faire plaisir, l’accueil spontané des familles françaises de Téhéran, la partie de cache-cache dans les ruines de Rayen, l’immense variété de population entre le nord-ouest et le sud-est, la pénurie de carburant au pays de l’or noir, ….


Merjaveh___Quetta_copie

 

Nous quittons Taftan pour un premier tronçon de 300 km de bonne route au milieu de paysages splendides (une barre rocheuse de pierre noire à droite et à gauche le désert de sable, complètement sec et plat, avec ses caravanes de dromadaires).


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Entre Taftan et Dalbandin


Je retrouve  de mes précédents séjours au Pakistan, ces magnifiques camions, superbement décorés de la tête aux pneus (cf. photos) Obelix fait également son effet, à en croire les grands coups de klaxon auxquels nous avons droit à chaque dépassement ou croisement de camion.

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Ils sont beaux, hein? (les camions)


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Il falloir qu'Obelix prenne quelques couleurs...


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Mal parti, celui-là, pour la traversée du désert!


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Difficile de se croiser


A près 5 heures de route, nous bivouaquons dans la petite ville de Dalbandin. Marcello et Carolina nous gratifie d’un petit spectacle de « rue » (c’est leur métier) dans la cour de l’hôtel, tout en terre, où nous avons trouvé refuge. Il fait une douceur incroyable, les gens super serviables : nous sortons donc chaises et tables au clair de lune pour un petit café italien tout en refaisant le monde. Un moment de bonheur après ses derniers jours un peu speed.

 

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Toujours très rassurant...

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Toujours de l'humour, ces pakistanais...

Le lendemain, les 30 premiers km de bonne route laissent rapidement place à 150 km de mono voie qu’on pourrait appeler « route » mais qui oblige à l’un ou l’autre des véhicules se croisant, à dégager sur le coté pour laisser passer l’autre. Et là, on apprend vite la règle du jeu en vigueur : le plus gros reste sur la piste et l’autre dégage…..Alors, comme il y a essentiellement des camions chargés comme des baudruches, la vitesse moyenne en prend un sacrée coup !! En plus, l’armée pakistanaise ayant également ces registres à remplir, nous sommes régulièrement arrêtés par les barrages. Le bon coté de cela, c’est qu’au bout du 4eme barrage, on connaît par cœur les 6 No de passeport de la famille !!!

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Entre Dalbandin et Quetta

Difficile de vous décrire ces grands espaces. Je laisse les photos et la vidéo parler à notre place (j’en profite pour saluer Jean Luc avec qui nous avons bricolé un support de Camera sur le plat bord avant du camion, ce qui permet de filmer tranquillement la route tout en conduisant. Ça marche à merveille !) Accueil aussi extra dans les villages traversés, à coup de grands signes de la main et tout sourire.

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La corvée d'eau


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Sans aucune explication, à une centaine de km de Quetta, on se fera escorter par des militaires. N’avançant pas assez vite à notre goût, Marcello essayera bien de les doubler mais sans succès. Faut pas pousser, tout de même.

 

Nous arrivons à Quetta juste avant la tombée de la nuit après 9h de route pour 330 Kms, fourbus, poussiéreux mais heureux d’avoir réalisé cette superbe traversée sans problème mécanique ni mauvaises rencontres.

 

Par contre, mauvaise surprise à Quetta : il fait un froid de bête !! A 1700 m d’altitude, les nuits sont très froides et les journées, malgré le beau soleil, tout juste tièdes. Nous ressortons manteaux, bonnets et chaussures…. Nous découvrons ici un autre monde. Claire ne m’avait pas vraiment cru lorsque je lui avais dit que l’Iran était un pays très développé. Maintenant que nous sommes au Pakistan, mes commentaires sur l’Iran prennent tout leur poids. En résumé, quel bordel ce pays, mais quel plaisir de le retrouver (commentaire, je l’avoue, très personnel !!). Le plus impressionnant c’est de retrouver cette foule partout où que l’on aille (route, trottoirs, bazar…) mais on va s’y faire (ça, c’est un commentaire de Claire)

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Nos voisins de palier à Quetta... charmants !


Demain, nous quittons Quetta pour rejoindre doucement Peshawar à travers les montagnes. Cela devrait bien nous prendre 4/5 jours.

 

J’espère pouvoir trouver demain, un cyber café d’une qualité un peu meilleure que celui que j’ai visité ce soir. L’ordinateur était d’un autre age et la ligne ne devait pas dépasser 10Kb. Mais le plus fort, était le vieux Pachtoun derrière son bureau qui s’occupait de la boutique !! Alors, quand je me suis pointé avec mon portable…..

 

Bon, sinon, avant de nous quitter, une petite mise au point semble nécessaire concernant notre grand jeu concours « le quid des Duduch » :

 

- Suite à la réclamation des Dodinos concernant la réponse des Du Ranquet sur l’origine du mot « assassin », le jury de la FIDB, après avoir longuement délibéré, a maintenu la validation de la réponse. Cependant, reconnaissant le caractère incomplet de cette réponse, il n’a été accordé (de manière totalement injustifiée) que la moitié des points pour cette réponse.

 

- Seuls les mails reçus ou commentaires enregistrés dans le blog peuvent être pris en compte. Il semblerait en effet qu’un certain nombre de réponses aient été envoyées (soit disant) bien avant les réponses des Du Ranquet et des Dodinos. Celles-ci ne peuvent malheureusement pas être homologuées.

 

- Quant aux « questions trop faciles » pour lesquels certains préfèrent s’abstenir, le même jury tient à leur rappeler que la route est longue et qu’il leur serait prudent d’engranger qq. points avant d’arriver dans des contrées moins connues….

 

En ce qui concerne la dernière question sur le nom de « la structure permettant d’accéder à un Qanât », celle-ci ne devrait pas soulever autant de réclamation puisque personne n’a trouvé la réponse. C’était: « un PAYAB » (source: Historic Hydraulic Structures of Yazd at a glance, by the Regional Water Autority of Yazd)

 

Nous vous proposons, comme prochaines cogitations, les 2 questions suivantes :

- A la frontière Irano-Pakistanaise, Obelix a parcouru, depuis notre home sweet home de la Nièvre :

§ 9 340 km

§ 13 357 km

§ 15 442 km

- Depuis quelle année, la Perse s’appelle l’Iran ?

 

Bon, il est 11h 45, j’ai les pieds gelés et tout le monde dort dans Obelix. Demain, de nouvelles aventures nous attendent…..

 

PS : Pour notre séjour au Pakistan (2 semaines environ), nous sommes joignables sur notre portable au No suivant : 00 92 306 373 44 75, en sachant que nous avons 3 heures de plus que Paris (à vérifier suite au passage à l’heure d’hiver) Avis aux amateurs….

 

PSS : pour ce qui nous ont envoyé des mails, attention, il semblerait qu’on ne les recevrait pas tous. N’hésitez pas à nous les renvoyer si vous n’avez pas eu de nouvelles de notre part.

 

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Commentaires
B
Bonjour, ou trouvez la vidéo dont vous nous parlez ?<br /> <br /> Sinon j'ai trois doc technique ponticelli pour vous ici : http://bastien59.free.fr/doc<br /> <br /> Une sur la BT une sur le pont avant et le manuel d'entretien.<br /> <br /> Sébastien
L
Au 6016 kms recensés plus haut, il convient d'ajouter :<br /> <br /> - tous les kilomètres en plus lorsque la police est venue déloger les duduchs pour les faire dormir ailleurs<br /> - tous les kilomètres en plus lorsque qu'Obelix à pris à gauche au lieu d'aller à droite (exclusivement quand Claire était au volant... ah ! Les femmes et les itinéraires... )<br /> - tous les kilomètres en plus lorsqu'il fallait tourner pour trouver un garage pour les menues réparations d'Obelix ou un cybercafé pour nous tenir au courant.<br /> <br /> Bref... ça nous fait grosso modo : 9340 kms<br /> <br /> Pour ce qui est de l'Iran, on l'appelle officiellement Iran depuis le 21 mars 1935. Vive Wikipedia !
F
Aucune proposition des Duduchs n'est valable à moins qu'Obelix est déjà fait un tour du compteur : la vrai réponse est 6016 km la preuve :<br /> <br /> entre Vezelay et Chateau-Queyras : 583 km<br /> entre Chateau Queyras et Ancone : 713 km<br /> entre Patra et Athènes : 211 km<br /> entre Cesme et Izmir : 89 km<br /> entre Izmir et Aphordisias : 199 km<br /> entre Aphrodisias et Beysekir : 422 km<br /> entre Beysekir et Kayseri : 377 km<br /> entre Kayseri et Mersin : 313 km<br /> entre Mersin et Tabriz ça se complique : environ 878 km<br /> entre Tabriz et Teheran : environ 656 km<br /> entre Teheran et Ispahan : environ 432 km<br /> enter Ispahan et Yazd : environ 377 km<br /> entre Yazd et Kerman : environ 211 km<br /> entre Kerman et Bam : environ 230 km<br /> entre Bam et Zahedan : environ 273 km<br /> entre Zahedan et Merzale : environ 53 km soit en tout 6016 km.<br /> <br /> A la rigueur à 9340 km vous êtes à Islamabad.<br /> <br /> Pour le nom de l'Iran à la place de la Perse, c'est le Shah Rezah Pahlavi qui l'a officialisé par decret le 21 mars 1935.<br /> <br /> Et qu'est ce qu'on gagne à la fin du concours ? Un allé simple pour Islamabad ?
P
Depuis quelle année, la Perse s’appelle l’Iran ?<br /> <br /> Où et par qui ?<br /> - en Iran, depuis toujours (Perse est le nom grec)<br /> - par la communauté internationnale,petit à petit par usage depuis 1925 (début de la dynastie des Palhavi),et officiellement depuis le 21/03/1935 par demande via decret de Reza Shah.<br /> <br /> A question floue, réponse ambiguë !<br /> <br /> Philippe
M
Depuis votre chez vous, vous avez parcouru 15442km.<br /> Cette fois ci, je ne me ferai pas voler ma victoire! :-)<br /> <br /> Bises, et mettez vous en plein les mirettes!<br /> <br /> Mathieu et sa princesse
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